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1.
Mali méd. (En ligne) ; 38(3): 5-9, 2023. figures, tables
Article in French | AIM | ID: biblio-1516386

ABSTRACT

Objectif : Etudier les caractéristiques épidémio cliniques et évolutives des dysthyroïdies auto immunes dans le service d'endocrinologie diabétologie du CNHU-HKM. Matériel et méthode d'étude : Il s'agit d'une étude transversale descriptive et analytique ayant porté sur les patients reçus en consultation pour une pathologie thyroïdienne dans le service d'endocrinologie diabétologie sur une période de 10 ans. Ont été inclus les patients ayant au moins une TSH anormale et les anticorps anti thyroïdiens positifs. Résultats : Sur la période d'étude, nous avons enregistré 2883 consultants, 347 avaient une pathologie thyroïdienne, dont 69 cas de dysthyroïdie auto-immune répartis en 54 cas de maladie de Basedow et 15 cas de maladie de Hashimoto. Les dysthyroïdies auto immunes représentaient donc 2,39 % des consultations et 19,89% des thyroïdopathies. Les fréquences de la maladie de Basedow et de la maladie de Hashimoto étaient respectivement de 1,87% (54 cas) et 0,52% (15 cas) parmi les consultations. Les dysthyroïdies auto immunes étaient plus fréquentes dans les tranches d'âge de 30 à 40 et 40 à 50 ans. Les manifestations les plus fréquentes de la maladie de Basedow étaient l'asthénie (94,4%), l'amaigrissement (87,0%) et la tachycardie (85,2%) . Quant à la maladie de Hashimoto les principales manifestations étaient représentées par une asthénie (86,66%), un goitre (66,6%) et une prise de poids (60%). Le titre initial élevé des anticorps anti R-TSH, l'hypothyroïdie iatrogène ont été retrouvés comme des facteurs associés au suivi prolongé de la maladie de Basedow au-delà de 18 mois. Conclusion : Les dysthyroïdies auto-immunes sont des affections fréquentes dominées par la maladie de Basedow. Leur évolution sous traitement est influencée par des facteurs cliniques, biologiques et échographiques.


Objective: To study the epidemiological, clinical and evolutionary characteristics of autoimmune dysthyroidism in the endocrinology-diabetes department of the CNHU-HKM. Material and method: This was a descriptive and analytical cross-sectional study of patients seen for thyroid pathology in the endocrinology diabetology department over a 10-year period. Patients with at least one abnormal TSH and positive anti-thyroid antibodies were included. Results: Over the study period, we recorded 2883 consultants, 347 of them having thyroid diseases, including 69 cases of autoimmune dysthyroidism divided into 54 cases of Graves' disease and 15 cases of Hashimoto's disease. Autoimmune dysthyroidism represented 2.39% of consultations and 19.89% of thyroid disorders. Graves' disease and Hashimoto's disease accounted for 1.87% (54 cases) and 0.52% (15 cases) of consultations respectively. Autoimmune dysthyroidism was more frequent in the 30-40 and 40-50 age groups. The most frequent symptoms of Graves' disease were asthenia (94.4%), weight loss (87.0%) and tachycardia (85.2%). In Hashimoto's disease, the main symptoms were asthenia (86.66%), goiter (66.6%) and weight gain (60%). High initial R-TSH antibody levels and iatrogenic hypothyroidism were found to be factors associated with extended follow-up of Graves' disease beyond 18 months. Conclusion: Autoimmune dysthyroidism is a frequent condition, with Graves' disease predominating. Their evolution under therapy is influenced by clinical, biological and ultrasonographic factors.


Subject(s)
Humans , Male , Female , Patients , Thyroiditis, Autoimmune , Therapeutics , Cross-Sectional Studies , Hashimoto Disease
2.
Article in French | AIM | ID: biblio-1264206

ABSTRACT

Introduction : La prévalence et le risque d'infection urinaire sont élevés chez le patient diabétique. L'objectif de notre travail était d'identifier les germes responsables d'infection urinaire et d'étudier leur comportement vis-à-vis des antibiotiques testés. Méthode: Il s'agissait d'une étude transversale et descriptive ayant porté sur les comptes rendus de 78 cas d'examen cytobactériologique des urines (ECBU) réalisés sur une période de 45 mois s'étendant de janvier 2012 à septembre 2015. Le diagnostic de l'infection urinaire a été retenu en présence d'une bactériurie positive c'est-à-dire une bactériurie du milieu de jet ≥ 105 cfu/ml chez la femme et ≥ 104 cfu/ml chez l'homme ou une bactériurie d'urines prélevées dans une sonde à demeure ≥ 102 cfu/ml. Résultats: Sur les 666 diabétiques hospitalisés, 78 avaient réalisé un ECBU et parmi les ECBU réalisés 46 étaient positifs. L'âge moyen des patients inclus dans notre travail était de 53,1 ± 15,7 ans avec des extrêmes de 22 ans et 87ans. Le sexe féminin était plus représenté (58,4%) soit une sex ratio de 0,71. L'Escherichia coli était le germe le plus fréquent (47,83% des cas), suivi du Klebsiella pneumoniae (19,57% des cas), du Streptococcus agalactiae (6,52% des cas), Staphylococcus epidermidis (4,3%). Concernant les betalactamines testées, le taux de résistance était de 85% pour l'ampicilline, 84% pour l'amoxicilline, 91% pour l'oxacilline, 59% pour la ceftriaxone et 10% pour l'imipénème. Quant aux quinolones, le taux de résistance était de 74% pour la norfloxacine et 67% pour la ciprofloxacine. De faibles taux de résistance ont été retrouvés pour la nétilmicine (33%), le thiamphénicol (28%) et la nitrofurantoine (26%). Conclusion: Le germe le plus fréquent était l'Escherichia coli. Le taux de résistance bactérienne était très élevée pour les betalactamines et les quinolones mais relativement plus faible pour les phénicolés, les aminosides et les nitrofuranes. Ces données devraient être prises en compte lors de toute antibiothérapie à visée urinaire surtout probabiliste


Subject(s)
Benin , Diabetes Mellitus , Drug Resistance, Bacterial , Escherichia coli , Patients , Urinary Tract Infections
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